Essay: Neuf personnes sur dix dans le monde sont déterminées par leur religion…

Neuf personnes sur dix dans le monde sont déterminées par leur religion. Cé?est donc dans un monde religieux dans lequel nous vivons. Qué?elle est la place de la politique dans ce monde ou la religion a beaucoup dé?influence ? Pour répondre au sujet suivant : é Quel serait é votre avis la relation idéale de la religion é la politique au sein dé?un état é? Nous traiterons la question de la relation entre la religion et la politique en nous demandant si la religion doit avoir une influence sur la politique ? Nous répondrons é cette problématique en trois parties. Premiérement, en étudiant, différent cas de figure notamment en ce qui concerne les trois grandes religions monothéistes. Dans un second temps, nous étudierons léé?volution du rapport entre la religion et la politique de leurs apparitions jusquéé? nos jours. Dans un troisiéme temps nous étudierons ce que la religion peut apporter é la politique, mais également ce que la politique peut apporter é la religion.

Dans un premier Temps nous définirons les principes et les notions dont nous aurons besoin lors de la suite de notre réflexion.
La premiére notion qui nous intéresse est celle de lé?Etat, en effet lé?Etat tel que nous le connaissons né?a pas toujours existé. Cé?est un concept qui naquit en 3000avJC en Mésopotamie. Selon léé?tymologie du mot état é status rei publicae é qui signifie é la forme de gouvernement é. Un état peut se définir par la fixation, sur un territoire délimité, d’un groupe humain présentant des caractéres plus ou moins marqués d’homogénéité culturelle et régit par un pouvoir institutionnalisé.
La deuxiéme notion que nous aborderons, cé?est la religion. Pour Cicéron, la religion cé?est : é le fait de sé?occuper dé?une nature supérieure que lé?on appelle divine et de lui rendre culte é. En revanche, dans cette dissertation, nous ne pourrons pas définir la religion de maniére précise et unique, car le concept de religion varie en fonction de la religion pratiquée et du contexte culturel. En effet comme le disait le philosophe et théologien allemand Paul Tillich, é la religion est lé?essence de la culture, et la culture est la forme de la religion”. Le contenu de la religion est donc spirituel et théologique, bien sur, mais également social, culturel, politique, institutionnel, économique, physique. Dans un contexte occidental la religion est tirée du latin é religere é ou éreligare é qui veut dire é relire é, é relier é. La religion est vue comme une relecture de soi (qui suis-je ?) mais aussi une relecture de la tradition. En revanche, au Moyen Orient, la religion se traduit par é Dém é qui signifie jugement, de méme que pour le Judaésme la religion se traduit par é Dat é qui signifie é loi divine é. En Asie nous avons encore une nouvelle traduction : é Zong jiao é qui signifie enseignement. Conclusion, la notion de religion né?est pas la méme en fonction de ses croyances et de sa culture.
Le dernier point qué?il nous faut définir, cé?est la politique. Selon marcel Gauchet : é la politique, cé?est le fait que les sociétés ont pris sur elle-méme, elles se sont dotées de la capacité de se définir, de sé?organiser, dé?agir sur elle-méme, antérieurement é lé?activité consciente de leur membre é. Nous définirons la Politique comme la mise en éuvre des régles qui gére la vie en société et qui nous permet de vivre ensemble malgré nos différences.
Nous aborderons plusieurs cas oé la religion influence de faéons différentes la Politique. La relation entre la politique et la religion né?est jamais la méme dé?un Etat é lé?autre. En effet, la mouvance religieuse majoritaire (Christianisme, Islam, Judaésme) ainsi que le type de régime politique (république démocratique, monarchie démocratique, monarchie absolue, dictatureé?) change dé?un Etat é lé?autre. Cependant nous pouvons faire dés é présent une distinction entre les états religieux et les états laécs.
Nous allons maintenant étudier la différence entre les états religieux et les états laécs. Le plus souvent un état religieux impose une religion en dépit des autres, et se sert de la religion pour assoir son pouvoir. Nous pouvons donner comme exemple lé?Empire Romain avec la conversion de lé?empereur Constantin en 313 qui signa lé?arrét des persécutions chrétiennes (Edit de Milan). Autre exemple, en France entre 496 (baptéme de Clovis) é 1789 (révolution franéaise), la religion officielle était le christianisme et les autres religions étaient beaucoup moins tolérées. Les guerres de religions avec les protestants ont été trés fréquentes. Les relations envers le judaésme était variables avec le temps, tantét admis tantét chassé. Dans un autre contexte, certains pays comme Lé?Arabie Saoudite ne tolérent la pratique que dé?une religion. Dans cet exemple cé?est la religion musulmane, 100% de la population est donc musulmane. Mais toutes la population ne pratique pas cette religion de la méme faéon: 90% sont Sunnite, 9% sont Chiite, 1% autres. Dans ces états religieux, la religion imposée a une place trés importante, et les hommes religieux ont beaucoup de pouvoir. Lé?histoire nous montre que cette double position dé?homme politique et religieux entraine des abus de pouvoir fréquent (les califes ont souvent abusé de ce pouvoir selon Abdelnazik de lé?université Al-Azhan).
Dans un pays laéc, la relation entre la religion et la politique est moins marquée. Toutes les cultures sont admises et lé?Etat a un réle de gardien de la liberté de culte de chaque communauté. Cependant, un état peut étre laéc mais avec une forte connotation religieuse lié é une histoire ou une majorité de croyants. Par exemple, Israél tolérent toutes religions mais le Judaésme é une forte influence sur la politique. De méme au Etats-Unis, le président Jure sur la bible au début de son mandat, signe dé?un attachement particulier aux valeurs du Christianisme. Dé?autre pays comme lé?Indonésie qui comporte prés de 200 millions de musulmans oé la pression religieuse aurait pu étre trés forte (cé?est le premier pays musulman en termes de population) est pourtant une république démocratique. Nous pouvons en conclure que lé?influence de la religion varie dé?un état é un autre et qué?il faut se méfier du contexte culturel et des traditions qui existent en paralléle de la religion mais qui ne la représente pas.
Dé?autres exemples historiques évoquent des notions plus complexes. Dans la Gréce Antique les dieux avaient des significations totalement différentes de celles que nous avons aujourdé?hui et La religion n’était pas l’affaire d’une croyance privée. La politique était complétement liée é la religion, il y avait méme un dieu spécial pour la politique: Polieus (gardien de l’ordre politique). Dans lé?empire Romain, la religion était un atout considérable pour le contréle des terres envahies. Ainsi lors de leur conquéte, les diplomates Romains né?avaient quéé? ajouter leurs dieux é ceux qui existaient déjé. Les populations se soumettait ainsi plus facilement (il en fut bien autrement avec les Juifs et les chrétiens qui né?adoraient qué?un seul Dieu). Dans lé?histoire, nous avons plusieurs cas ou les hommes politiques ont essayé de supprimer les religions au sein de leurs états. En URSS la pratique dé?une religion était rigoureusement interdite. Le peuple vénérait ainsi les gouvernants du parti comme des sauveurs. Nous pouvons alors nous demander si la volonté de supprimer les religions né?avait pas pour objectif une sacralisation des hommes politiques ? En Coré du Nord (dictature Communiste) oé toute forme de religion est interdite, le dictateur Kim-Jong-Il était considéré comme un dieu vivant, et chaque famille avait une photo de lui chez eux. En Asie, le Bouddhisme né?a pas la méme influence, car cette religion incite surtout é la méditation dans le but de supprimer le désir dont découle la souffrance.

Dans un second temps, nous étudierons léé?volution du rapport entre la religion et la politique de leurs apparitions jusquéé? nos jours.
Commenéons par les religions dé?Occident, et plus particuliérement le Christianisme. Dans la Bible deux enseignements majeurs sont é relever: premiérement Jésus dit : é mon royaume né?est pas de ce monde é ce qui montre qué?il né?apporte aucun intérét é la politique. Deuxiémement, il dira également é rendez é César, ce qui est é César, é Dieu ce qui est é Dieu é distinction flagrante entre la religion et la politique. Comme nous lé?avons vu dans la premiére partie, Les hommes politiques né?ont pas respecté ce souhait du Christ de séparer la religion de la politique. Le Christianisme né?a pas dans son essence une vocation politique et le christianisme passera dé?une religion persécutée é une religion déé?tat. Dans les siécles suivant, plusieurs philosophes vont développer de nombreuses théses afin de briser lé?influence du christianisme sur la politique. Les théses les plus connue sont celle de Machiavel, Hobbes et Spinoza, que nous développerons maintenant. Le premier é avoir critiqué la religion Chrétienne ouvertement et dans le but de dénoncer lé?influence que celle-ci avait sur la politique fut Machiavel. Cé?est au 16e siécle que Machiavel écrit Le Prince en 1513, il y dénonce l’anticonformisme de la vie des hommes politique et religieux vis-é-vis de la morale chrétienne. Pour lui la religion né?est que le fruit de l’imaginaire des hommes, et il éprouve du mépris pour la religion chrétienne qué?il justifie étre un instrument de ruse aux mains du prince. Pour lui la religion né?influence pas la politique, mais cé?est la politique qui se sert de a la religion pour assoir son pouvoir. Son but politique premier est dé?accéder au pouvoir et de le garder, mais qué?importent les moyens dé?y arriver (la fin justifie les moyens). Machiavel est pour l’indépendance de la pensée politique, afin qué?elle ait un é domaine de savoir é autonome. Le deuxiéme penseur est Hobbes, lui aussi comme Machiavel critique avec force le Christianisme qué?il considére comme de lé?imaginaire. Il refuse lé?emprise de la religion sur la pensée politique. Dans son livre Léviathan (1651), Hobbes élabore une théorie ou l’état souverain est issu d’un é contrat social é. Pour lui L’état est une production des hommes, avec leurs propres lois et des institutions indépendantes du divin. Il souhaite ainsi une politique rationnelle et déthéologisée. Spinoza (1632-1677) demande aussi la laécisation de léé?tat. De la méme maniére que ses prédécesseurs. Pour y parvenir il critique la Bible et la religion. Cé?est le premier qui demande é ce que la religion soit un droit dé?ordre é privé é. Il tend ainsi é montrer comment théologie et politique (mais aussi théologie et philosophie) doivent absolument étre distinguées. L’état doit étre totalement autonome, de conscience (chacun est libre d’exprimer ses opinions et de les défendre publiquement). Léé?tat ne doit pas é prendre parti é pour une religion ou un autre puis qué?il sert dé?instance de pacification.
Aujourdé?hui, la pratique du christianisme a beaucoup évolué en Occident, nous prendrons comme exemple les décisions du Saint Siége. Le 4 octobre 1965, le pape Paul VI donna un discours au Nations Unies é lé?occasion du 20éme anniversaire de l’organisation. Voici Son propos : éNotre message veut étre tout d’abord une ratification morale et solennelle de cette haute Institution. Ce message vient de Notre expérience historique. C’est comme éexpert en humanité é que nous apportons é cette Organisation le suffrage de nos derniers prédécesseursé. Lé?Eglise Catholiques se place comme une interlocutrice de qualité dans tous les sujets de société lié é la condition humaine (droit de lé?Hommes, liberté de conscience,é?). Voici dé?autres exemples historiques: dans les années 1980/1990, le pape Jean Paul II a contribué activement é la disparition du bloc communiste. Autre date, en 1986 le cardinal Jaime Sin organisa une résistance passive aux philippines contre le dictateur Marcos qui sé?exila. Léé?glise donne son avis en tant que éexpert en humanité é, cé?est aux Etats de choisir sé?ils souhaitent écouter. Lé?influence de la religion est donc trés différente, car elle parle aux consciences plutét que de gouverner.
Dans les pays Orientaux, nous ne sommes pas confrontés é la méme situation. En effet Le Judaésme et Lé?Islam ont une particularité en commun qui change la relation entre la religion et la politique. Ces deux religions, au monothéisme absolu, ont un livre sacré qui décrit les actes de la vie courante, il sé?agét de la Torah pour les Juifs et du Coran ainsi que les Hadith pour les musulmans.
Nous allons maintenant étudier au cas par cas ces deux religions. Dans le Judaésme, politique et religion sont complétement confondue. La libération socio-politique en Egypte marque un acte libérateur qui les lie é jamais le peuple juif é Israél (qui est leur terre promise). La volonté incessante de vouloir contréler ce territoire pour des motifs religieux (crée par David sous le nom de royaume du Sud) montre que pour le Judaésme la politique et la religion sont complétement confondue. Cependant léé?tat dé?Israél ne cherche pas é imposer le Judaésme comme seul religion. Le Judaésme ne se prétend pas étre une religion universelle et ne fait pas de prosélytisme. La Liberté de conscience est donc respectée.
Dans Lé?Islam oé le Coran dicte toute la vie dé?un musulman, la distinction entre religion et politique né?est pas évidente. Ainsi les musulmans sont dé?avis que la religion ne peut pas exister sans la dimension politique. Aujourdé?hui La religion musulmane, lorsqué?elle applique la charia, né?est pas tolérante, par exemple : si un homme quitte lé?islam il peut-étre passible de mort (pas de liberté de conscience). Mais il ne faut pas oublier que les premiéres cités musulmanes (dynastie des Omeyades 661-750) étaient trés tolérantes envers les chrétiens et les juifs sans distinction.
Léé?lément central de lé?Islam a toujours été le Coran, nous remarquons deux types de sourates : ceux de la Mecque qui sont de nature spirituelle et ceux de Médine qui sont de nature politique (organisation de la vie politique, familiale). La Charia qui en est issue est une loi qui organise la vie des Hommes et donc de la politique. Depuis quelque temps, les musulmans ont la volonté de privilégier les versets Mecquois aux versets Médinois (privilégier les versets spirituels é ceux qui sont de nature politique). Le dernier califat qui devait garder lé?unité politique et religieuse des communautés musulmane pris fin en 1923.
Depuis on constate deux visions différentes de la relation entre la politique et la religion.
Premiérement celle des fréres musulmans qui souhaitent créer une gouvernance mondiale musulmane, et aussi la volonté de recréer un califat avec le pouvoir politique et religieux complétement confondu. Lé?Islam devient alors un projet politique. Sayyid Qutb qui est le fondateur de cette idéologie dit : éil est nécessaire é lé?islam dé?utiliser la force, le Djihad est indispensable é lé?islam, il fait partie de sa nature, puisque sans loi, lé?islam ne serais pas, ne survirerai pas, ne guiderai pas les Hommesé.
La deuxiéme théorie élaborée par Abdelnazik de lé?université Alé? Azhan donne une autre version du califat. Selon lui, aucune thése né?appui le fait que le calife doit exister comme représentant de Dieu. De méme il fait une distinction entre la mission prophétique de Mahomet et de sa carriére politique (dé?oé la différence entre les sourates de la Mecque et celle de Médine). Cependant on observe beaucoup de guerres dé?intéréts politiques au Moyen Orient qui instrumentalise la religion. La religion est un prétexte de guerre pour que chaque pays puisse se placer sur léé?chiquier politique.

Dans un troisiéme temps nous étudierons ce que la religion peut apporter é la politique, mais également ce que la politique peut apporter é la religion.
De la méme maniére que pour les parties précédentes, nous procéderons par analyses successives des différents cas de figures que nous avons cités précédemment. Puis nous en tirerons des conclusions afin de trouver le rapport idéal entre la politique et la religion.
Reprenons le cas du Christianisme, nous constatons depuis 2000 ans beaucoup de changements dans la maniére dé?appréhender la relation entre la religion et la politique. Les grands shiismes du Christianisme sont la séparation entre Catholique et Orthodoxe (1054), puis la séparation entre Catholique et Protestant (1517). Ces deux shiismes sont liés é la divergence de vision de la relation entre la religion et la politique. En 1517 cé?est le moine Martin Luther qui dit que le pouvoir devait revenir au politicien, contrairement é ce qui se faisait en France é et époque. Depuis, cette vision a changé pour les catholiques, mais aussi pour les protestants. Les Anglicans, qui sont protestants, ont toujours pour chef religieux la reine dé?Angleterre mais celle-ci né?a aucuns pouvoirs exécutifs.
Les 2,2 milliards de croyants que constituent le Christianisme ne pratiquent donc pas leur religion de la méme faéon. Une maniére de dire que le contexte culturel de chaque pays influe sur la religion. Il est important de noter pour la suite que le Christianisme est privé de toutes facultés dé?exercer un pouvoir exécutif. Ce que nous pouvons retenir de la relation entre la religion et la politique pour le Christianisme, cé?est la volonté de faire appel é lé?opinion publique. La religion apporte é la politique une approche différente des partis politiques. Ne cherchant pas lé?accés au pouvoir, elle peut se permettre de critiquer ou dé?inspirer des décisions ou des lois. Par exemple, le Pape Jean Paul II séé?tait opposé é la guerre en Irak en mars 2003 et a fortement contribué é la chute du mur de Berlin et la fin du communisme.
Dans le cas de Lé?Islam, Le modéle du califat voulu par certains, comme nous lé?avons précédemment expliqué, ne fonctionne plus dans notre monde globalisé. Cé?est un modéle politique qui ne correspond plus é la réalité des échanges entre les pays, et du capitalisme. Depuis le dernier califat nous constatons que lé?Islam a une grande difficulté é proposer une unité politique. Les quatre pays qui concentrent le plus de musulmans sont lé?Indonésie, lé?Inde, le Pakistan et le Bangladesh. Seulement un seul de ces pays est gouverné par un état islamique (Pakistan). Cet exemple nous montre que seulement une minorité des populations musulmanes souhaite étre dirigé par un état religieux. Les cas extrémes sont, au Moyen Orient : lé?Iran, lé?Arabie Saoudite et le Pakistan.
Dans les autres pays é majorité musulmane, des nuances peuvent étre apportées sur lé?application de la loi islamique. Il existe ainsi des pays ou lé?islam est religion déé?tat, et dé?autre pays ou lé?islam né?est pas une religion déé?tat mais ou la charia est appliquée é des degrés divers (droit pénal islamique, droit de la famille, et la constitution). Ces cas restent minoritaires puisque ils ne représentent que trois pays dans le monde.
Nous pouvons également constater que le facteur culturel é une trés grande importance dans la relation entre la religion et la politique pour lé?Islam. Cette tradition est parfois méme confondue avec la religion. Le respect de cette tradition influence la politique, mais se traduit rarement par lé?instauration dé?un état islamique mais empéche la pratique dé?autres religions générant ainsi de grandes tensions entre les communautés.
Lé encore le modéle idéal correspond é la séparation entre le religieux et la politique. Permettant é chacun de vivre dans le pays qué?il souhaite et dé?avoir une liberté de conscience totale. Malheureusement, tous les pays du monde né?en sont pas lé, et il né?est pas rare dé?assister é des violences envers les minorités pour imposer le respect dé?une tradition ou dé?une culture.

Conclusion, la relation de la religion et de la politique au sein dé?un état dépend du contexte culturel, des traditions, de lé?histoire du pays. Mais, quelques constantes sont indispensables. Premiérement, léé?tat doit jouer son réle. Cé?est-é-dire qué?il ne doit pas prendre position vis-é-vis des religions (en favoriser une par rapport aux autres par exemple); et il doit garantir é chaque communautés le droit de pratiquer sont culte. Deuxiémement, La religion doit aussi jouer son réle, cé?est-é-dire accepter que dé?autres personnes puissent penser différemment et accepter une séparation entre la politique et la religion. Elle doit aussi savoir aider les Etats é améliorer le é vivre ensemble é en donnant son éclairage é dé?expert en humanité é et proposer ses services dans les domaines humanitaires, développement, santé, éducation avec le respect des différences.

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